Pretty little liars, c’est plutôt simple: cinq demoiselles, un groupe d’amies et une disparition mystérieuse qui va tout chambouler.
C’est l’intrigue qui lie Alison, Aria, Hanna, Emily et Spencer. Après le décès d’Alison, les quatre survivantes se retrouvent bien prises au dépourvu lorsqu’elles reçoivent des messages menaçants signés de la lettre ‘A’, d’autant plus que les jeunes filles semblent avoir beaucoup à cacher. Une trame qui, de prime abord, semble plutôt pas mal : aller hop, je regarde.
Premier épisode : lancement de l’intrigue. Un ange passe. Dixième épisode, pas vraiment d’avancement… En effet, les épisodes se répètent : menace de ‘A’, péripéties, résolution ; menace de ‘A’, péripéties, résolution (et ainsi de suite…). Et ce, pendant au moins quatre saisons puisqu’à la saison 5 (sans vouloir spoiler personne puisqu’il n’y a rien à spoiler) on ne sait toujours pas qui est ‘A’. Alors je veux bien qu’on fasse durer le suspens, c’est d’ailleurs ce qui fait le charme de pas mal de séries, mais là, cinq saisons basées sur la même intrigue, c’est un peu long. La série réunit tous les clichés « girly » possibles, ce qui n’arrange rien. Et enfin, on ne peut pas vraiment s’attacher aux personnages qui sont plutôt froids. Quant au jeu d’acteur, on a déjà vu beaucoup mieux.
Bon, j’admets, je n’ai regardé qu’une seule saison, peut-être que je ne fais pas honneur à la série seulement parce que j’ai visionné la partie la moins intéressante de l’intrigue. Puis, cette critique reste mon avis et uniquement mon avis. Mais je tiens quand même à dire que je ne suis pas difficile en termes de série et là, je n’ai vraiment pas accroché. Je terminerai par vous dire ceci : à tous ceux qui ne sont pas ouverts aux séries type midinette, passez votre chemin ou sinon, ne vous attendez pas à une série pleine de suspens avec un scénario qui se tient.
A bon entendeur.
M.D.